
Les quotidiens parvenus mercredi à l’APS reviennent sur l’attribution de la licence 4G au Sénégal, un sujet qui en côtoie d’autres, parmi lesquels l’audition du coordonnateur du Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition), Oumar Sarr, poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles.
"L’appel d’offres pour l’attribution de la licence 4G au Sénégal s’est terminé de façon inattendue avec le refus des opérateurs Orange, Tigo et Expresso de soumissionner’’, rappelle le journal Le Quotidien.
"L’appel d’offres pour l’attribution de la licence 4G au Sénégal s’est terminé de façon inattendue avec le refus des opérateurs Orange, Tigo et Expresso de soumissionner’’, rappelle le journal Le Quotidien.
"Au lendemain de ce dénouement, écrit-il, la Sonatel informe que la licence en question ne peut valoir qu’autour de 14,5 milliards de francs CFA, très loin des 30 milliards réclamés par l’ARTP, l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes".
Dans les colonnes de Sud Quotidien, la Sonatel précise avoir décidé de ne pas déposer d’offres "compte tenu des conditions qui ne permettent pas de créer de la valeur ajoutée pour l’entreprise et l’ensemble des parties prenantes au vu du benchmark effectué".
L’opérateur historique des télécommunications "s’explique sans convaincre", estime Le Témoin quotidien.
Dans les colonnes de Sud Quotidien, la Sonatel précise avoir décidé de ne pas déposer d’offres "compte tenu des conditions qui ne permettent pas de créer de la valeur ajoutée pour l’entreprise et l’ensemble des parties prenantes au vu du benchmark effectué".
L’opérateur historique des télécommunications "s’explique sans convaincre", estime Le Témoin quotidien.
"On a assisté bel et bien à une action concertée entre la Sonatel, Tigo et Expresso pour ne pas déposer d’offres", écrit le commentateur de ce journal.
"De ce point de vue, ajoute-t-il, on est obligé de constater que c’est un défi que ces opérateurs lancent à l’Etat. Lequel compte beaucoup sur l’argent issu de la vente de ces fréquences pour renflouer sa trésorerie et financer ses projets de développement".
De fait, dans des propos rapportés par le quotidien national Le Soleil, le directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP) assure que "le prix de la 4G fixé est raisonnable et il est fixé pour permettre le développement rapide de la 4G, avec des opérateurs en bonne santé".
"De ce point de vue, ajoute-t-il, on est obligé de constater que c’est un défi que ces opérateurs lancent à l’Etat. Lequel compte beaucoup sur l’argent issu de la vente de ces fréquences pour renflouer sa trésorerie et financer ses projets de développement".
De fait, dans des propos rapportés par le quotidien national Le Soleil, le directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP) assure que "le prix de la 4G fixé est raisonnable et il est fixé pour permettre le développement rapide de la 4G, avec des opérateurs en bonne santé".
Abdou Karim Sall "soutient que le revenu des opérateurs des télécoms dépasse les 1.000 milliards de francs CFA avec des marges de 20 à 50%. Les fréquences étant des ressources rares", il "affirme que l’Etat aurait tort de les brader", ajoute Le Soleil.
De leur côté, les associations de consommateurs "ont formé bloc (…) pour apporter leur soutien à l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)", renseigne Le Populaire.
De leur côté, les associations de consommateurs "ont formé bloc (…) pour apporter leur soutien à l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)", renseigne Le Populaire.
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